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La région de Pokrovsk reste un des foyers de combats les plus actifs dans le Donbass.

Quand c’est nécessaire, la société civile ukrainienne réagit très rapidement.

Dans la ville quotidiennement bombardée par les Russes, les émotions des paroissiens sont douces-amères.

La région frontalière de Derhatchi a été l’une des premières à être attaquée par les Russes. Près de la moitié de la communauté territoriale a été occupée. Le village de Chapovalivka se trouvait alors dans la zone grise.

Dans la région de Kharkiv, à seulement 10 minutes l’un de l’autre se trouvent deux villages : Dibrivne et Kurulka. L’un a été occupé par les Russes et abondamment miné, l’autre a été détruit.

Dans le village de Pitomnik, dans la région de Kharkiv, les bombardements ennemis incessants n’ont laissé aucune maison intacte.

Pendant la guerre, le village de Lisne a été l’un des foyers les plus sensibles de la région de Kharkiv : l’armée ukrainienne a arrêté l’armée russe à quatre kilomètres de là. Pendant les six mois qui ont suivi, le village a été encerclé par les envahisseurs.

Dès le début de la guerre russo-ukrainienne, le village de Pervomaïskyï a été constamment bombardé. Pendant plus d’un an, il n’y a plus eu d’électricité dans le village : les occupants avaient gravement endommagé les réseaux électriques.

175 kilogrammes de TNT, 68 mines antichars : une quantité incroyable d'explosifs a été laissée par les Russes dans un village frontalier de la région de Kharkiv.

Le village de Mala Danylivka est situé à 20 km de la frontière avec la Russie. De 1941 à 1943, le village a été sous occupation allemande. En février 2022, il a failli se retrouver occupé par les envahisseurs russes.

Le village de Kantsedalivka, dans la région de Kharkiv, a été libéré à l’automne dernier. Les premiers à arriver dans le village ont été des volontaires, qui ont vu un théâtre de désolation : des maisons en ruine, des voitures brûlées, des corps calcinés.

Derhatchi est une ville qui n’a pas été occupée mais qui, dès les premiers jours de la guerre, a été victime de bombardements constants pendant les combats pour Kharkiv.

À 15 kilomètres au nord de Kharkiv, on entre dans le village de Borshchova. Ici, la guerre a éclaté dès les premières heures de l’invasion à grande échelle.

Lyptsi est un village de la région de Kharkiv, situé à cinq kilomètres de la frontière avec la fédération de Russie, et à 34 kilomètres de Kharkiv.

Au milieu du XVIIe siècle, le village de Tyshki est apparu sur la rive de la rivière Kharkiv. Plus tard, il a été divisé en deux parties : Cherkaski Tyshki et Ruski Tyshki.

Situé à la périphérie d’Izioum, Oskil est un des plus anciens villages de la région de Kharkiv. Il existait déjà au début du XVIIe siècle sous le nom de Tsareborrisov.

Le village de Tsirkuny, près de Kharkiv, a été occupé par les Russes dès le premier jour de la guerre, devenant un poste de bombardement de la ville de Kharkiv.

Les enquêteurs du Groupe de défense des droits humains de Kharkiv filment la région de Kharkiv dévastée à l'aide de caméras au sol et de drones. Voici une sélection de photos de Ruski Tyshki après la désoccupation.

Le groupe de défense des droits humains de Kharkiv (GDHK) a documenté de nombreuses attaques contre des établissements d'enseignement dans la région de Kharkiv. Leur destruction pourrait avoir un impact significatif sur le développement de la région.

Depuis presque un an, les enquêteurs du Groupe de défense des droits humains de Kharkiv filment la région de Kharkiv dévastée à l'aide de caméras au sol et de drones. Voici une sélection de photos d'Izioum prises après la désoccupation.

Des immeubles noirs, des fenêtres brisées, des rues désertes. Et cette impression que le temps s'est arrêté en un instant. Et non, ce n'est pas à Prypiat. C'est Saltivka Nord, un grand quartier résidentiel de Kharkiv, à l'été 2022.