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Mikola Kostenko vit dans le village de Moshchun, dans la région de Kyiv. En mars 2022, cette région a connu un véritable enfer.

Parmi les « preuves irréfutables » contre la jeune femme figurent des « aveux » de son beau-père, prisonnier de guerre ukrainien, presque certainement obtenus sous la torture.

Depuis 2014, de très nombreux crimes de guerre, crimes contre l’humanité et autres violations flagrantes des droits humains ont été commis sur le territoire ukrainien.

Enlèvements de représentants des médias ukrainiens et cyberattaques russes.

Derhatchi est une ville qui n’a pas été occupée mais qui, dès les premiers jours de la guerre, a été victime de bombardements constants pendant les combats pour Kharkiv.

Retour sur les avantages et les inconvénients de la ratification du Statut de Rome.

À 15 kilomètres au nord de Kharkiv, on entre dans le village de Borshchova. Ici, la guerre a éclaté dès les premières heures de l’invasion à grande échelle.

Une équipe de documentalistes et d’enquêteurs a établi que la frappe avait été menée par la 47e brigade de missiles de la 8e armée combinée des forces armées russes, sous le commandement du colonel Vitali Bobyr, à l’aide de missiles de croisière Iskander-K.

Lyptsi est un village de la région de Kharkiv, situé à cinq kilomètres de la frontière avec la fédération de Russie, et à 34 kilomètres de Kharkiv.

La maison de Svitlana Holovata, originaire de Moshchun, a été entièrement détruite. Tout a brûlé : les lits, les armoires, tous les meubles en bois, et même le téléviseur. Elle dit que c’était comme s’il n’y avait jamais rien eu dans la maison.

Natalia Shtepa a quitté Roubijne le 26 mars 2022. Pendant les bombardements, elle s’abritait avec des voisins dans une petite cave non aménagée. Elle raconte qu’elle a dormi en position assise pendant 17 nuits.

Les forces de l’ordre ukrainiennes et des experts internationaux collaborent pour prouver le crime de génocide commis par l’armée russe en Ukraine.

La Commission internationale pour les personnes disparues a signé des protocoles de coopération avec le ministère de la Justice et le ministère de la Santé.

Au milieu du XVIIe siècle, le village de Tyshki est apparu sur la rive de la rivière Kharkiv. Plus tard, il a été divisé en deux parties : Cherkaski Tyshki et Ruski Tyshki.

Irina Oliinyk ne croyait pas à une guerre à grande échelle et n'a pas eu le temps d'évacuer Borodyanka. Le 1er mars, le village a été bombardé par l'aviation russe. Le mari d'Irina et son fils de deux ans ont été blessés et leur appartement a été détruit. Mais Irina veut vivre à Borodyanka et espère pouvoir travailler et gagner de l'argent pour un nouveau logement.

En 2022, la Russie a lancé sa plus grande campagne de désinformation sur les armes chimiques et biologiques. Cette campagne trouve son origine dans la propagande de la presse soviétique.

Une habitante du village de Moshchun, dans la région de Kyiv, raconte les horreurs des premiers jours de la guerre totale. Sa maison a été complètement détruite, même ses conserves ont brûlé dans la cave.

Discours prononcé à Prague, lors de la conférence internationale consacrée au prix Václav Havel, le 10 octobre 2023.

Situé à la périphérie d’Izioum, Oskil est un des plus anciens villages de la région de Kharkiv. Il existait déjà au début du XVIIe siècle sous le nom de Tsareborrisov.

Le 14 septembre 2023, le procureur général d’Ukraine Andriy Kostine et le procureur de la Cour pénale internationale (CPI, Cour) Karim Khan ont annoncé l'ouverture d’un bureau extérieur de la CPI à Kyiv.

Volodymyr Zaïka est un habitant du village de Moshchun, dans la région de Kyiv. Il affirme que seules 5% des maisons de Moshchun n’ont pas été endommagées. Volodymyr lui-même a dû éteindre un incendie sous les bombardements, après que des obus ennemis ont touché sa maison. De toute la propriété de Volodymyr, seule la grange est restée debout.

Le Groupe de défense des droits humains de Kharkiv (GDHK) documente les crimes internationaux (génocide, crimes contre l’humanité, crimes de guerre) qui auraient été commis par l’armée russe en Ukraine, notamment dans la région de Kharkiv.

Nadejda Bratachevska, habitante de Kharkiv, se rappelle les deux mois passés dans une cave avec son mari : « Pour aller chercher l’aide humanitaire, on priait Dieu tous les demi-mètres. Au besoin, on se collait au mur pour attendre le passage ou l’explosion d’un obus ».

Les Russes ont kidnappé l’officier à Henitchesk, dans la région de Kherson puis lui ont soutiré des aveux sous la torture. Les défenseurs des droits humains sont convaincus que le cas de Kisseliov présente toutes les caractéristiques d’une disparition forcée.